Une série de dessins sur le vif réalisés lors du procès de deux Déboulonneurs lillois, le 9 juin. La rapidité a été privilégiée, vous excuserez donc la qualité graphique. Le tout est vu depuis le fond de la salle, et le nez dans le cahier, la ressemblance des personnages est très approximative.
Quelques articles pour en savoir plus: ici ou là.
Dans le tribunal:
Première affaire: l’homme ne parle pas français.
Le juge appelle les déboulonneurs:
Première intervention de l’avocat:
L’interrogatoire:
Intervention du procureur:
Réponses des accusés:
Les témoins:
Requête du procureur:
Plaidoirie de l’avocat:
Cryptobiose Névrotique 
Une fois de plus , le prélévement d’ADN dans ce cas là , est une aberration ….Souhaitons que le juge fasse la même analyse qui a conduit la présidente du tribunal de Paris à relaxer d’autres déboulonneurs .
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Bravo pour les dessins. Merci pour le récit.
La relaxe pour les deux chefs d’inculpation semble évidente à ceux et celles qui, comme moi, font la démarche de venir lire cet article. Mais c’est beaucoup moins évidents pour d’autres citoyens, qui peuvent avoir une autre lecture du « légal » et du « légitime ».
Longue vie aux déboulonneurs ! (ou pas trop longue, si on se permet d’espérer que la loi éradiquera le matraquage commercial dans quelques années)
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